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Dreaming my life
29 février 2008

Amertume

Ah mère, tu me
Rends
Amère

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28 février 2008

27 février 2008

Brise

Un vent tiff

(Tagged Image File Format)


24 février 2008

Where's the pain in the violent night ?

23 février 2008

Pourquoi est-il si méchant ?

Samedi soir tranquille à la maison.
Je me regarde un DVD, de musique bien entendu. C'est le Brutally Live de Alice Cooper. Ce mec est délirant. J'écoute rarement des CDs de lui (je n'en ai aucun d'ailleurs) mais quand je l'écoute, je trouve que c'est bon et quand je le vois, il me met de bonne humeur. Je suis alle le voir en concert il y a quelques années et c'était vraiment un super moment. Note pour moi-même: s'il re-passe à Paris, surtout y aller.

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22 février 2008

Lui

Cet après-midi je suis passée à la médiathèque. Il y a des jeunes à la section musique qui passent de bon trucs. Aujourd'hui j'ai mis le pied dedans et les premières notes de l'album Lodger sont parties. C'était marrant que nous soyons synchrones. J'aime beaucoup le début de Lodger. Surtout Move on. J'ai choisi un DVD musical pour ce week-end et j'ai flané. Rien trouvé dans les CDs qui m'attire aujourd'hui mais je fouillais quand même car c'était vraiment bien de trainer dans la médiathèque presque vide en écoutant David.

631J'ai repensé à ça ce soir. Je me passe mon Best Off Bowie.

22 février 2008

De pire en pire

J'étais en RTT aujourd'hui.

 

Lundi en arrivant au boulot, j'ai lu tout mes e-mails et je me suis emportée. Puis je me suis sentie abbattue. Puis je me suis dit que je n'en pouvais plus, alors que j'étais à mon bureau depuis moins d'une demi heure. J'ai donc posé mon vendredi, avec pour but de ne rien faire, être n'importe où du moment que ce soit ailleurs qu'à mon boulot.
Je suis quelqu'un d'émotif sans doute. Mais je ne suis pas quelqu'un de faible. Je n'ai jamais eu peur de bosser beaucoup. J'ai déja eu des boulots où il me fallait être joignable 24h/24 et 7/7j. Et bien ce boulot était mieux que celui que j'ai maintenant. L'environnement fait tout. Je suis entourée de gens qui stressent qui flippent dès que leur chef les presse un peu du coup j'ai cinquante personnes stressées sur le dos. Stressées, pressées, flippées et particulièrement désagréables. Mes chefs qui devraient m'appuyer et faire barrage à cette pression sont encore plus flippés que les autres.
On me reproche sans arrêt la mauvaise qualité d'un outil que je maintiens, alors que ça fait plusieurs années que je le maintiens seule et avec tellement de demandes d'évolution que je me demande comment j'ai réussi à tenir le rythme.  Enfin, on dit ne pas me pointer du doigt mais c'est vraiment tout comme, et c'est bizarre je le prends personnellement, car oui, je me suis investie là dedans et j'ai bossé sur ce développement des nuits jusqu'à deux heures du matin. Par masochisme? Peut-être. Par fierté surtout et par refus de l'échec. Pourquoi  n'as tu pas demandé du renfort me direz vous? J'en demande. Mais dans ma boite, on écrème, on vire, on délocalise. Donc voilà on a viré nos plus fidèles alliés (et les plus compétents évidemment), on a coupé la boite en deux (les gens chargés de maintenir mon outil bancal en particulier), et ensuite on veut que ça marche toujours aussi bien, mais en évoluant, et en allant vite, et en étant de qualité. Bah je peux pas. Et c'est de ça qu'on m'accuse.  Toute seule je peux pas. Enfin toute seule, pas vraiment... J'ai un collègue qui bosse avec moi, mais bon tu vois le genre de collègue sympa, un peu rêveur, pas toujours très motivé. Voire pas souvent très motivé. Bon il est là et il fait des choses. Je ne peux pas lui reprocher de ne pas être une bête de travail, car c'est une attitude que je comprends. Alors je le brusque pas.
Par contre je lutte contre tous les cons qui te disent que t'as qu'à faire ci et puis après il faut que tu fasse ça et puis ASAP parce que sinon tu vois, le revenu il rentre pas et les chefs ils sont pas contents parce qu'ils toucheront pas leur belle prime. Ils te demandent de bosser vite et bien mais en s'assurant en même temps que tu n'y arrivera jamais parce qu'ils viennent te voir toutes les 5 minutes pour te demander ou ça en est et comment ça avance. Réponse: ça avancera plus vite quand tu arrêtera de ma pourrir 10 fois par heure (connard).  Je suis de plus en plus désagréable avec les gens qui m'entourent, c'est fou. Je n'ai jamais été comme ça. Même les gens sympa j'ai presque plus envie de les voir. Quand je me visse à ma chaise le matin, je n'ai plus qu'un souhait c'est qu'on ne me parle pas mais qu'on me laisse bosser tranquille toute la journée (sans prendre la moindre pause sauf pour aller pisser) pour avoir le vague espoir lointain de me sortir de toute cette merde un jour, mais même en ramant 50 fois plus vite j'y arrive pas.
Tu vois, ce qui ne m'est jamais arrivé au taff, et à peine à la fac (la seule fois était à un examen de physique subatomique ou j'avais bossé comme une tarée mais avec la peur quand même de me planter) et bien ça m'arrive aujourd'hui.

 

Je suis stressée.

 

J'étais en RTT aujourd'hui. Et je n'ai fait que penser au taff, ce putain de taff qui m'attend lundi avec tout ces brasseurs d'air qui vont me faire chier parce que leur chefs les font chier mais surement pas autant que eux me font chier.

 

Attaquer ? J'ai commencé à y penser, un peu. De loin. Mais je ne suis pas quelqu'un qui aime attaquer. Par contre  je refuse de me laisser faire. Et puis même? C'est le pognon qui gagne toujours, non ?
Je hais cette loi du fric, je hais devoir toujours faire plus vite moins cher et tant pis si c'est de la merde. C'est pas pour moi. Mais ailleurs c'est pareil, non ?

 

Je regarde les offres d'emploi et j'ai l'impression que tout ce ressemble. Je ne vois rien qui fait rêver.

19 février 2008

Je vois bien quel genre de personne vous ête

Je vois bien quel genre de personne vous êtes.

19 février 2008

Je n'en peux plusMes chefs ne me soutiennent pas

Je n'en peux plus
Mes chefs ne me soutiennent pas face à toute cette charge écrasante. J'essaye de faire de mon mieux et de trouver les solutions les meilleures mais comme leur application n'est pas assez rapide, les messieurs projects managers montent en informant des rangs incalculables de la hiérarchie pour que mes propositions tombent à l'eau et qu'on mette à la place des rustines qui ne tiendront pas plus longtemps qu'un soupir.
N'étant pas soutenue je perds en crédibilité
N'étant plus motivée je perds en compétence
Je me sens déprimée, harcelée
Je sens qu'être une femme n'aide pas
Je ne sais pas quoi faire. Le soir je suis claquée et j'ai moins que rien envie d'envoyer des lettres de motivations pour aller voir ailleurs si l'herbe est plus verte.

Que puis-je faire ?

18 février 2008

Aube

Obe
G embraC l'Obe DT
Ri1 ne bouG encor O front D palé. L'O éT morte. Lé camps d'ombre ne kité pas la route du bois. G marché, réVllant les AlNs vives zé tiè2s, é lé piRreri regardR, et lé zL se levR 100 br8.

La premiR entrepriz fut, dans le 100tié Djà empli de fré é blMs zékla, 1 fleur ki me di son nom.
Je ri o wasserfall blond ki Cchevela à traVrs lé sap1s: à la cim argenT je reconnus la DS.

Alors je leV 1 à 1 lé voiles. Dans l'alé, en AJtant lé bras. Par la plN, où je lé DnonC o coq. A la grand'ville L fuyé parmi les clochés é lé dômes é courant côm 1 mendiant sur lé ké de marbre je la chassé.

En O 2 la route, pré d'1 bois de lOrier, je lé entouré avec C voiles amaCs, et G 100ti 1 pe 2 son immense corps. L'Obe et l"enfant tombR o bas du bois.

O réveil il éT midi

Arthur R1bo

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