6 juin 2013
Brouillon2
Il y a eu tous ces maux
Que je n'ai pas compris,
Ces doux leurres,
Ces douceurs
Ces gens qui vont,
Ces gens qui viennent,
Ceux que j'ai congédiés
Et ceux que j'ai remerciés.
Il y a eu des motels,
Des miroirs aux plafond,
Des relations mortelles
Infusant leurs poisons
Il y a eu du venin,
De serpentants chemins,
Ces repentants lendemains,
Du désespoir sans fin.