J'aime les chansons où on s'envole And either way
J'aime les chansons où on s'envole
And either way you turn
I'll be there
Open up your skull
I'll be there
Climbing up the walls
J'aime les chansons où on s'envole
And either way you turn
I'll be there
Open up your skull
I'll be there
Climbing up the walls
Il y a des jours comme ça... On erre, on lit des trucs sur la toile, on clique, on tombe ici ou là. Et puis surviennent des notes... douces, rondes, chaudes. Et une voix, masculine et sensible nous enveloppe soudain, dans l'intimité des histoires qu'elle raconte. Et on tombe un peu amoureux, on se laisse entrainer dans cet univers. Est-ce le jour, est-ce l'heure, le moment ? Ou est-ce juste que c'est simplement beau ?
Love of my life de Queen.
Et je me dis que la beauté arrive quand même à exister dans ce monde. On arriverait presque à imaginer ce que peut être la perfection.
C'est le week-end !
Un petit morceau de Laibach, que j'ai vu dimanche dernier au Divan du monde. C'était drôlement bien, même si ce n'est pas vraiment le style de musique que j'écoute d'habitude, ils étaient très bons. Et en plus, ils avaient une invitée surprise : la très jolie Mina Špiler.
Pour les oreilles :
Et pour les yeux :
You want to tear me apart.
Regarde, l'hiver s'installe, il va faire froid pendant un moment...
Que j'aime Hawksley, avec la sensualité torride qu'il dégage, quel que soit le sentiment qu'il exprime, dans le désir ou dans la souffrance, dans la douceur ou dans la violence. Cette voix, ces mots, ces notes... Je frissonne.
Une très belle de Nick Cave avec une petite interview avant. Et M. Warren Ellis sans sa barbe mais toujours ce fameux regard, et son violon.